mardi 20 avril 2010


Lionel Andrés Messi, né le 24 juin 1987 à Rosario, est un footballeur argentin qui évolue au poste d'attaquant droit au FC Barcelone et pour l'équipe nationale argentine. En 2007, il obtient la 3e place au ballon d'or et la 2e au joueur FIFA de l'année.
Né à Rosario, dans la province de Santa Fe, le 24 juin 1987, Lionel Messi débute chez les jeunes de Newell's Old Boys. Il a 13 ans lorsque sa famille émigre en Espagne pour fuir la crise économique qui accable l'Argentine à l'époque. Les Messi s'installent à Barcelone, où Leo est vite invité à faire un essai au FC Barcelone. C'est là qu'il est repéré par Carles Rexach, responsable du centre de formation blaugrana : « Il m'a tout de suite tapé dans l'œil. D'ailleurs, de façon symbolique, je l'ai fait signer au dos d'une serviette[réf. nécessaire] », raconte le technicien catalan.
À l'époque, Messi est tellement menu qu'il est surnommé la Pulga (la puce), surnom qui lui est resté. Afin de pallier cette carence physique, le Barça lui fait suivre un traitement médical destiné à stimuler ses hormones de croissance. Il fait ses débuts en Liga fin 2004, mais c'est en 2005 qu'il va se révéler au grand public. Grâce à son premier but, inscrit le 1er mai face à Albacete, il devient le plus jeune réalisateur du club, titre qu'il a cédé en 2008 à son coéquipier espagnol Bojan Krkić sur une de ses passes décisives.

vendredi 16 avril 2010


La statue de Zeus se trouvait à Olympia sur la côte ouest de la Grèce, dans un temple qui se situe dans la vieille ville.
Cette œuvre, avait été commandée au sculpteur athénien Phidias par les habitants d'Olympie, pour être placée dans le temple de Zeus. Achevée vers 430 av. J.-C., cette statue colossale du dieu assis mesurait 12 m de haut, sur un piédestal de 2 m. La base de la statue fait 6,05m et 1m de hauteur. Le tour de la statue fait 13m. En étant assis il touche presque le plafond du temple.
On la connaît aujourd'hui par des descriptions et des représentations sur des monnaies. Zeus tenait dans sa main droite une statuette de victoire faite en ivoire et en or . Dans l'autre main, il tient un sceptre décoré avec tous les métaux, et au dessus, il y a un aigle. Le visage, les bras, le torse et les pieds étaient en ivoire, tandis que la chevelure, la barbe, les sandales et la draperie qui enveloppait son corps étaient en or. Le trône était d'ivoire et d'ébène sertis d'or et de pierreries.
Au deuxième siècle avant Jésus-Christ, la statue doit être refaite. Au cinquième siècle, lorsque le temple brûle , la statue est à Constantinople.
Cette magnifique statue fut détruite lors de l'incendie qui ravagea le temple en 462.


Cette statue de bronze représentant Hélios, dieu grec du Soleil, fut édifiée par le sculpteur Charès de Lindos pour commémorer la levée du siège de la ville qui a eu lieu en 305 avant J.C. et la victoire des Rhodiens contre le chef macédonien Démétrios Poliorcète.

Le colosse de Rhodes se trouvait dans le port de Rhodes en Grèce, probablement à l'extrémité de l'actuel môle Saint-Nicolas où l'on a retrouvé des blocs de marbre qui auraient pu être utilisés pour le socle de la statue. Le colosse de Rhodes a été érigé entre 303 et 291 av. J.-C. et c'est au prix de douze ans de travail qu'il fut entièrement fini.

Faite de bronze et élevée sur une base en marbre, la statue mesurait de la tête aux pieds 32 m, soit 14 m de moins que la statue de la liberté de New York ce qui lui permettait d'être visible par les navires approchant du port. De son bras levé, le dieu tenait un flambeau tandis que son autre bras s'appuyait sur une lance.

Elle fut partiellement détruite en 225 av. J.-C. à la suite d'un tremblement de terre. Puis, en 653 apr. J.-C., l'ensemble des matériaux (plus de 13 t de bronze et près de 7 t de fer, selon Philon) est saisi par une expédition arabe pour être vendue à un marchand juif d'Ephèse. La statue chevaucha l'entrée du port pendant seulement soixante-cinq années.

On peut dire que le colosse de Rhodes se classe parmi les sept merveilles du monde car son immensité est exemplaire. De plus, il faut bien se rendre compte que cette œuvre grecque est le résultat d'une très grande prouesse technique qui se caractérise, entre autre, par l'utilisation de moules en terre cuite nécessaire au coulage du colosse. Nous pouvons comprendre que la préparation à la construction devait être délicate. D'ailleurs, il parait même que Charès de Lindos se suicida lorsqu'il découvrit une erreur dans ses calculs; erreur que dut corriger l'un de ses assistants.

l a été localisé entre 1994 et 1996 dans le port même d'Alexandrie par l'archéologue français Jean-Yves Empereur. C'est l'un des monuments antiques les plus connus et les plus souvent représentés car ce fut l'un des premiers phares. On a en effet retrouvé jusqu'en Afghanistan des objets souvenirs avec des reproductions de l'image du phare.Il se situe en Egypte sur l'île de Pharaos (qui a donné le mot « phare ») située face à la ville d'Alexandrie. Cette île fut au cours des siècles reliée à la terre ferme par les alluvions du Nil, sur lesquelles on construisit une chaussée et un pont. Le phare, bâti sur l'île, fut commencé sous Ptolémée II Philadelphe et terminé vers 280 av. J.-C par Sostrate de Cnide.

Le phare comptait trois étages: le premier était carré, le second octogonal et le troisième cylindrique. L'ensemble en marbre blanc mesurait environ 135 m (440 pieds) de haut d'où l'on voyait les navires à 27 miles nautiques soit 50 kilomètres en mer. Les angles étaient ornés de tritons de bronze qui servaient soit à avertir de l'approche de l'ennemi par des sons terrifiants, soit à porter des miroirs qui, la nuit, réfléchissaient la lumière d'un feu. Le jour, la fumée signalait aux bateaux l'entrée du port.

L'unicité du phare d'Alexandrie se concrétise par sa hauteur importante et sa solidité exemplaire. En effet il était exposé à un vent fort venant de la mer, c'est pourquoi il devait nécessairement être assez résistant. Cet édifice est le symbole de la prouesse technique qu'ont fait preuve les égyptiens. De plus c'était l'un des premiers phares.

Il s'agit d'un tombeau monumental situé au sud-ouest de la Turquie dans la ville d'Halicarnasse (actuellement Bodrum) où reposait le roi de Carie nommé Mausole. Il était aussi satrape1 du roi de Perse, à qui la Carie appartenait.

Il est très probable qu'Artémis, soeur et femme du satrape de Carie entreprit la construction de cet édifice en 353 av. J.-C., soit trois ans après la mort du roi, pour lui rendre hommage. Le mausolée fut terminé une année après la mort de cette femme.

D'une hauteur totale de près de 43 m, il était supporté de trente-six colonnes et surmonté d'une pyramide ornée d'un quadrige de marbre. La chambre funéraire contenait sans doute les tombes de Mausole et d'Artémis. On pouvait aussi observer une frise d'une grande valeur qui représentait un combat des Grecs contre les Amazones et les Centaures.

Ce monument fut détruit en partie, par un séisme, vers le XIVe siècle. Peu de temps après, les chevaliers de l'ordre de Malte décidèrent de construire une forteresse : ils utilisèrent les pierres du mausolée et en 1522, il n'en resta plus aucune. De nos jours, nous pouvons encore observer cette forteresse à Bodrum.

mausolée fut classé ainsi car il se démarque par sa beauté et sa richesse. En effet, les ornements du sanctuaire ont été réalisé par les artistes les plus connus de son temps : pour l'architecture Satyros et Pythéos; pour la sculpture Scopas, Timothéos, Bryaxis et Léocharès. Les décorations et les sculptures étaient d'une grande beauté. Certaines pièces ont été retrouvées et peuvent être vues au British Museum de Londres.


Les jardins suspendus de Babylone étaient situés à Babylone, en Irak.
Ce fut Nabuchodonosor II qui fit aménager ces magnifiques jardins en l'honneur de son épouse Amytis, fille d'Astyage, roi des Mèdes, au VIe siècle avant J.-C., et non, comme le disent les Anciens, pour la reine mythique Sémiramis. Il aurait fait aménager ces jardins pour qu'ils rappellent à son épouse la végétation des montagnes de son pays d'origine.
Leur construction date de 600 av. J-C. Aucun historien grec n'a vu les jardins suspendus, il s'agit en fait de récits ou d'histoires racontées par les soldats.
Ces jardins étaient composés de plusieurs étages en terrasses, soutenus par des voûtes et des piliers de brique. Un immense escalier de marbre reliait ces terrasses, où l'eau, par des vis hydrauliques, était amenée depuis l'Euphrate. C'était un véritable jardin botanique où l'on cultivait les plantes et les arbres de Mésopotamie et ceux des montagnes de Médie. Les fouilles ont révélé les assises du jardin et ses voûtes puissantes dominant le fleuve.
Le mur d'enceinte de Babylone, célèbre par ses deux cent cinquante tours et ses neuf portes de bronze, fut élevé par le père de Nabuchodonosor II, mais il fut achevé par ses successeurs.
La date de leur destruction est inconnue.

Les pyramides d'Égypte, de tous les vestiges monumentaux que nous ont légués les Égyptiens de l'Antiquité, et notamment les trois grandes pyramides de Gizeh, sont à la fois les plus impressionnantes et les plus emblématiques de cette civilisation.

Si elle fut, à son origine, destinée au roi, l'idée d'une sépulture pyramidale fut rapidement reprise par les proches du souverain. Khéops semble avoir été le premier à autoriser ses femmes à se faire élever un tel tombeau.

Tombeaux des rois, des reines et des grands personnages de l'État, dont l'édification remonte pour la grande majorité à l'Ancien Empire, la forme pyramidale de pierre accueille une ou plusieurs chambres internes reliées par des couloirs.

La grande pyramide de Gizeh, construite par Khéops, fait partie des sept merveilles du monde antique.


Le temple d'Artémis à Éphèse est dans l'Antiquité l'un des plus importants sanctuaires d'Artémis, déesse grecque de la chasse et de la nature sauvage.

Sur l'emplacement d'un sanctuaire plus ancien, un temple est bâti vers 560 av. J.-C. par Théodore de Samos, Ctésiphon et Metagenès et financé par le roi Crésus de Lydie. Ses dimensions colossales (137,74 m de longueur et 71,74 m de largeur) et la richesse de sa décoration expliquent sa mention dans 16 des 24 listes des Sept merveilles du monde qui nous sont parvenues[1]. Il est incendié volontairement en 356 av. J.-C. par Érostrate, qui veut se rendre célèbre en détruisant le temple. Un second temple est bâti au milieu du IVe siècle av. J.-C. sur le même plan. Il est pillé par les Ostrogoths en 263 puis brûlé par les chrétiens en 401. Justinien achève de le démanteler en prélevant une partie de ses colonnes pour le palais impérial de Constantinople.

Les ruines d'Éphèse se trouvent aujourd'hui près de la ville turque de Selçuk, à cinquante kilomètres au sud d'Izmir.

Ce temple est également considéré comme étant la première banque au monde car il était possible d'y déposer de l'argent et de le récupérer plus tard crédité d'un intérêt.

présentation: Six des sept merveilles du monde furent décrites par Philon de Byzance, ingénieur du II ème siècle avant Jésus Christ, dans un manuscrit intitulé "Péri tôn hépta théamatôn" (A propos des Sept Merveilles du Monde). Ce manuscrit contenant six feuillets ne décrit que six constructions. La septième, le mausolée d'Halicarnasse, n'est décrite que dans l'introduction du manuscrit car le dernier feuillet a disparu .

Cependant, la liste définitive, appelée liste canonique, décrivant les sept merveilles du monde fut adoptée après le règne d'Alexandre le Grand d'après quatorze listes provenant d'auteurs différents. Les monuments sélectionnés devaient répondre à des normes de beauté, de grandeur et de prouesse technique.

La liste canonique fait référence aux sept merveilles suivantes :

mardi 13 avril 2010


Shocking everyone -- especially Engadget readers -- Nokia announced its new N810 this morning. Details are still incoming, but here's what we know for sure:
  • Same 4.13-nch WVGA (800 x 480), 65k color display as the N800, brightness increased by ~20%
  • GPS with particular focus on the "context sensitive web" via Ovi
  • 2GB internal storage (not including memory cards), ships with maps for use with GPS
  • Has WiFi (802.11b/g), does not have WiMAX
  • Bluetooth (2.0+ EDR) DUNs to capable phones, totally Foleo-like
  • 400MHz OMAP 2420 CPU, 128MB RAM, 256MB ROM
  • Integrated frontal camera, ambient light sensor, mini USB 2.0, hardware lock switch
  • Plays back video: 3GP, AVI, H.263, H.264, MP4, ASF, WMV, MPEG-1/4, Real video; audio: MP3, WMA, AAC, AMR, AWB, M4A, MP2, Real audio, WAV
  • Battery life aimed at 4 hours of "typical use" (movies, music, internet access, etc.), 10 hours music only, and up to 2 weeks totally idle time, and 5 days active standby ("improved compared to previous generation devices")
  • Runs Nokia's Linux Maemo interface (duh)
  • 5 x 2.83 x 0.55-inches, 7.97 ounces
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